Cette semaine, nous étions nombreux sur la place de la Victoire pour défendre les Centres Sociaux et les valeurs qu’ils incarnent.
Adhérents, bénévoles et salariés provenant de tout le département ont écrit une avalanche de cartes postales exprimant leur soutien, leur implication et leur reconnaissance.
Une carte provenant de Biganos a été lue devant des centaines de personnes.
De nombreux représentants politiques ont réaffirmé l’importance stratégique des centres sociaux dans la vie du territoire, mais un témoignage en particulier nous a touchés, celui de Justine Lafaye, adjointe au Maire d’Ambares :
» Pourquoi est il nécessaire d’avoir un centre social sur son territoire ?
Parce que c’est la première porte qu’on pousse sans crainte, sans peur d’être jugé. On peut tout dire, tout demander, on nous aidera.
Pourquoi est il nécessaire d’avoir un centre social sur son territoire ?
Parce qu’on s’y sent comme à la maison, on peut parler de nos problèmes de parentalité, de santé, de travail, de difficultés avec la langue française, l’administratif, etc…
On peut tout dire, tout demander, on nous aidera.
Pourquoi est il nécessaire d’avoir un centre social sur son territoire ?
Parce que c’est aussi grâce à eux que nos enfants, nos aînés, nos jeunes, nous, mères, pères d’aujourd’hui ou de demain venons y jouer, s’amuser, rire, danser, chanter, partager de véritables moments en famille ou entre amis. C’est ici que se créer le lien social, le fameux. Et de ce fait aussi, la mixité sociale.
On peut tout vivre, tout demander, on nous soutiendra.
Pourquoi est il nécessaire d’avoir un centre social sur son territoire ?
À Ambares, le centre socioculturel prend une place importante dans les services de la ville, en tant qu’Etablissement Public Autonome, il a la légitimité du diagnostic de territoire, la légitimité de connaître parfaitement les besoins des Ambaresiens. Il fait parti de ces services indispensable à la vie de notre ville qui sait écouter, conseiller, accompagner, orienter, animer.
On peut tout vivre, tout demander, on nous soutiendra. «
Merci à tous ceux qui continuent inlassablement à soutenir Le Roseau, notre mission et nos valeurs.
La lecture de la carte de Biganos, écrite par Sonia Germain Rudelle